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Les acheteurs sont de retour sur le marché, mais où sont les propriétés?

Avec une demande qui surpasse l’offre, Royal LePage ajuste à la hausse ses prévisions nationales après un début 2023 plus vigoureux que prévu 

Faits saillants:

  • Le prix de l’agrégat national devrait augmenter de 4,5 % au 4e trimestre de 2023 par rapport à la même période l’an dernier.
  • Les gains de prix à un chiffre observés au premier trimestre sont soutenus par un retour anticipé de la demande d’acheteurs s’étant tenus à l’écart du marché et par une pénurie de propriétés sur le marché.
  • Le prix de l’agrégat national a connu une hausse de 2,8 % au 1er trimestre de 2023, en baisse de 9,2 % par rapport à la même période en 2022.
  • Au premier trimestre, le prix de l’agrégat dans les grandes régions de Toronto, de Montréal et de Vancouver affiche des gains de 4,4 %, 1,3 % et 1,3 %, respectivement.
  • Royal LePage exhorte le BSIF à tenir compte des dangers économiques qui accompagneraient de nouvelles restrictions agressives sur les prêts hypothécaires.

TORONTO, 13 avril 2023 – Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat[1] d’une résidence au Canada a diminué de 9,2 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 778 300 $ au cours du premier trimestre de 2023. Cependant, sur une base trimestrielle, le prix de l’agrégat d’une résidence au Canada a augmenté de 2,8 %, alors que les acheteurs commencent à revenir sur le marché après que la Banque du Canada a décidé, le mois dernier, de stopper les hausses des taux d’intérêt pour la première fois en un an.

« Depuis le début de la pandémie de COVID-19, le marché immobilier canadien n’a rien de “typique”. Les confinements ont paralysé le marché de l’immobilier au tout début de 2020, avant que la révolution du télétravail ne le catapulte dans une frénésie de deux ans, toutes saisons confondues, caractérisée par des volumes de ventes records et une croissance agressive des prix », mentionne Phil Soper, président et chef de la direction de Royal LePage. « Comme tout marché, celui-ci s’est emballé et la correction inévitable a été déclenchée lorsque la Banque du Canada a commencé à relever rapidement les taux d’intérêt. Le ralentissement a été rapide et la dépression du secteur immobilier s’est poursuivie pendant douze mois, soit une correction plus longue que celle qui avait suivi la crise financière il y a treize ans. Nous avons franchi le tournant et l’économie du logement renoue avec la croissance, ce qui n’est pas trop tôt pour de nombreux acheteurs, qui attendaient patiemment que les prix atteignent leur niveau le plus bas. »

La Synthèse nationale des prix des maisons de Royal LePage est compilée à partir de données exclusives concernant les propriétés à l’échelle nationale et dans 62 des plus grands marchés immobiliers du pays. Un examen du marché par type de propriété indique que, par rapport à la même période l’an dernier, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 10,7 % pour atteindre 808 700 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 6,7 % pour s’établir à 571 700 $. Les prix médians d’un trimestre à l’autre dans ces deux catégories de propriétés ont augmenté respectivement de 3,4 % et de 1,8 %. Les données sur les prix, qui comprennent à la fois le marché de la revente et des nouvelles constructions, sont fournies par RPS Solutions pour propriétés résidentielles, la société sœur de Royal LePage et une entreprise d’évaluation chef de file au Canada.

« Le bon sens revient lentement sur le marché du logement », ajoute M. Soper. « Alors que certains acheteurs potentiels resteront sur la touche en raison d’une capacité d’emprunt réduite dans cet environnement de taux élevés, nos données de marché montrent que beaucoup de ceux qui ont choisi de suspendre leurs recherches pour voir où les prix et les taux d’intérêt allaient atterrir ont repris leurs projets d’achat de propriété. Malheureusement, ils doivent maintenant faire face à une grave pénurie de logements. »

Les données internes de Royal LePage et les chambres immobilières partout au pays signalent que depuis le début de l’année, les ventes de maisons sont en hausse en raison de la reprise de l’activité des acheteurs. Le nombre de propriétés disponibles à la vente reste toutefois trop faible pour satisfaire la demande.

Dans les grands centres urbains du Canada, les ventes et les nouvelles inscriptions augmentent régulièrement d’un mois à l’autre.

« Il y a toujours une pénurie chronique de logements au Canada, qu’il s’agisse de logements à louer ou à acheter. Nous sommes confrontés à un problème croissant, qui était autrefois le fardeau de nos plus grandes villes, mais qui se fait de plus en plus sentir sur les marchés secondaires », a déclaré M. Soper. « Oui, les gouvernements adoptent des politiques visant à résoudre le problème, mais le rythme des progrès est loin d’être encourageant. Et les défis auxquels sont confrontés les promoteurs – tels que l’augmentation du coût des matériaux et de la main-d’œuvre, et la pénurie de travailleurs qualifiés – persistent. »

Politique publique : « Ce n’est pas le bon moment de renforcer les restrictions » 

Cette semaine, les consultations publiques sur des changements proposés par le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) du Canada à la simulation de crise relative au prêt hypothécaire prendront fin. L’autorité réglementaire cherche à imposer un accès encore plus restrictif au financement hypothécaire afin d’atténuer le risque pour les grandes banques d’une éventuelle défaillance des consommateurs.

« La simulation de crise hypothécaire s’est avérée être un outil efficace pour garantir que les Canadiens puissent remplir leurs obligations envers un prêteur en cas d’augmentation des taux d’intérêt, comme cela a été le cas cette année », a déclaré M. Soper. « La loi a été introduite en 2018 alors que les coûts d’emprunt étaient très bas et que les taux étaient fortement susceptibles d’augmenter. Placer de nouveaux obstacles sur la voie de l’accession à la propriété des jeunes Canadiens maintenant, dans un contexte où les taux sont élevés et susceptibles de baisser, reviendrait pour le BSIF à fermer les yeux sur l’environnement macroéconomique et à faire preuve d’une cruauté inutile. En outre, une telle décision pourrait faire plus de mal que de bien, en forçant les familles à se tourner vers le marché non réglementé des prêteurs de type B. »

« Malgré une année de hausse rapide des taux d’intérêt, nous constatons que le nombre de propriétaires canadiens qui n’ont pas respecté leurs obligations envers leur institution financière reste exceptionnellement bas. Nos banques ont bien géré leurs portefeuilles de prêts hypothécaires, et le fait que le taux de chômage soit très bas y est pour quelque chose », a ajouté M. Soper.

Acheteurs étrangers 

Le mois dernier, le gouvernement fédéral a révisé les paramètres relatifs à l’interdiction de deux ans imposée aux acheteurs étrangers qui est entrée en vigueur le 1er janvier dernier. La liste des exemptions a été élargie pour inclure, entre autres, les non-Canadiens souhaitant acquérir une propriété résidentielle à des fins de développement et des terrains vacants zonés pour un usage résidentiel et mixte.

« Cette politique visait à dissuader les investisseurs étrangers de placer leur argent dans des propriétés canadiennes inoccupées. La décision du gouvernement d’autoriser de nouvelles dérogations à l’interdiction montre qu’il est prêt à modifier sa politique pour répondre aux besoins de notre crise de l’offre de logements », a ajouté M. Soper.

Période de protection de l’acheteur d’une propriété en Colombie-Britannique 

En Colombie-Britannique, la nouvelle période de protection de l’acheteur d’une propriété, soit une période de réflexion qui permet aux acheteurs d’annuler une offre dans les trois jours ouvrables suivant la signature d’une entente, ne s’est pas avérée utile.

« Peu d’acheteurs de la Colombie-Britannique exercent leur droit d’utiliser le délai de réflexion de la manière dont il a été conçu, c’est-à-dire pour leur permettre de se retirer après avoir pris la décision hâtive d’acheter une propriété. Malheureusement, nous voyons des gens abuser ouvertement du programme en faisant des offres sur plusieurs maisons pendant qu’ils magasinent, bloquant le peu de logements disponibles comme s’il s’agissait de vêtements dans un magasin de détail. La loi est nuisible, pas utile, et devrait être amendée ou éliminée. »

Taux d’intérêt

La Banque du Canada a maintenu son taux de financement à un jour à 4,5 %.[2] La banque centrale a indiqué qu’elle maintiendrait le taux à son niveau actuel si l’inflation continue de baisser. À l’avenir, elle n’hésitera cependant pas à relever à nouveau les taux d’intérêt si cela s’avère nécessaire.

« C’était le signal que plusieurs Canadiens attendaient. Le maintien des taux par la Banque du Canada a donné le feu vert au retour de la stabilité sur le marché et a eu un impact rapide et important sur la demande des acheteurs », soutient M. Soper.

Un récent sondage de Royal LePage[3] a révélé que près d’un quart des Canadiens (24 %) étaient à la recherche d’une nouvelle propriété au cours de la dernière année et que 63 % d’entre eux ont déclaré avoir reporté leur projet en raison de la hausse des taux d’intérêt. Parmi ceux qui ont mis leur projet en suspens, 26 % ont déclaré qu’ils prévoyaient de reprendre leurs recherches au printemps, tandis que 36 % ont dit qu’ils reviendraient sur le marché dans un avenir proche, une fois que la Banque du Canada aura maintenu ses taux d’intérêt pendant plusieurs mois consécutifs.

Prévisions

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat au Canada augmentera de 4,5 % au quatrième trimestre de 2023, comparativement au même trimestre de 2022. La prévision précédente a été révisée à la hausse pour refléter le regain d’activité plus rapide que prévu observé dans les principaux marchés du logement au pays.

« Après une correction, il est courant de sous-estimer la vitesse à laquelle le marché se redressera. Comme l’activité du marché reprend plus vite que prévu, nous envisageons l’avenir avec un optimisme prudent, note M. Soper. Même si nous ne nous attendons pas à des hausses de prix considérables cette année, le marché retrouve une certaine normalité, et cela devrait continuer si les taux d’intérêt restent stables. »

Après des niveaux d’activité au cours du premier trimestre de 2023 ayant dépassé les attentes de l’entreprise, soit un retour vigoureux de la demande des acheteurs jumelé à une offre de propriétés très limitée, Royal LePage a ajusté ses prévisions trimestrielles pour le reste de l’année. Au cours des neuf prochains mois, le prix de l’agrégat national devrait continuer à augmenter modestement d’un trimestre à l’autre.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

SOMMAIRES RÉGIONAUX

Région du Grand Montréal

Le prix de l’agrégat d’une propriété dans la région du Grand Montréal a diminué de 3,5 % au premier trimestre de 2023 par rapport à la même période l’année précédente pour s’établir à 551 400 $. Sur une base trimestrielle, toutefois, le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région a augmenté de 1,3 %.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 3,1 % par rapport au premier trimestre de 2022 pour s’établir à 616 300 $, tandis que le prix médian d’un appartement en copropriété a augmenté de 0,8 % au cours de la même période pour s’établir à 450 400 $.

« Jusqu’au 8 mars dernier, jour où la Banque du Canada a annoncé un premier maintien de son taux directeur en 12 mois, les acheteurs de propriétés sont restés en marge du marché afin d’évaluer l’ampleur des conséquences sur leurs projets d’acquisition futurs. Comme nous l’avions anticipé, le retour de la demande immobilière s’est manifesté rapidement après que la Banque centrale ait laissé sous-entendre que le pire était passé en stabilisant son taux d’intérêt directeur. Et cela a coïncidé avec le retour du beau temps et de la populaire saison de la chasse aux maisons à vendre, injectant un vent d’optimisme auprès de ceux qui avaient provisoirement mis leur projet sur la glace », a affirmé Marc Lefrançois, courtier immobilier agréé chez Royal LePage Tendance à Montréal.

Bien que les ventes soient en net recul dans la région du Grand Montréal par rapport aux records enregistrés au premier trimestre 2022, d’un mois à l’autre, les ventes ont augmenté de 52 % entre janvier et février, et de 32 % entre février et mars ; et les nouvelles inscriptions ont augmenté de 20 % entre janvier et février, et de 30 % entre février et mars.[4]

Dans Montréal centre, le prix de l’agrégat d’une maison a diminué de 3,9 % en glissement annuel pour s’établir à 665 400 $ au premier trimestre de 2023, soit une augmentation de 2,9 % par rapport au trimestre précédent. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 3,9 % pour s’établir à 1 021 100 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a augmenté de 2,8 % pour s’établir à 545 600 $.

« Même si les prix des propriétés dans la région ont diminué ce trimestre par rapport à la même période l’an dernier, ils ont légèrement augmenté comparativement au trimestre précédent, ce qui nous a amené à revoir nos estimations à la hausse », a commenté Dominic St-Pierre, Vice-président et directeur général de Royal LePage, région du Québec. « L’inflation galopante est derrière nous et la confiance des consommateurs envers le marché immobilier a rebondi. Nous demeurons prudemment optimistes concernant la valeur des propriétés, tandis qu’à l’heure actuelle, les indicateurs économiques, le plein emploi et l’offre limitée de biens sur le marché semblent être en faveur d’une reprise plutôt qu’un ralentissement de la demande à moyen terme. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région du Grand Montréal augmentera de 3,0 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché. 

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Région du Grand Toronto

Le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région du Grand Toronto a diminué de 11,8 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 1 119 900 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse de 4,8 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 11,9 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 1 400 200 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 7,4 % pour s’établir à 707 700 $.

« En début d’année, l’activité sur le marché immobilier de la région du Grand Toronto a été plus soutenue que prévu. Dès le départ, plusieurs acheteurs s’étant tenus à l’écart du marché depuis que les taux d’intérêt avaient augmenté ont relancé leur recherche d’une maison », indique Karen Yolevski, chef de l’exploitation, Royal LePage Real Estate Services ltée. « Une fois de plus, les acheteurs font face à une pénurie de propriétés et celles situées dans des quartiers recherchés et inscrites à un prix concurrentiel attirent plusieurs offres. Même si nous ne voyons pas autant de transactions se conclure à des dizaines ou des centaines de milliers de dollars au-dessus du prix demandé, comme c’était le cas pendant le boom de la pandémie, tout indique que les acheteurs feront face à une concurrence serrée ce printemps. Depuis le début de l’année, le nombre de rendez-vous pour visiter les propriétés est aussi en constante augmentation, ce qui indique clairement que les acheteurs sont prêts à se lancer à nouveau dans l’aventure. »

Dans la région du Grand Toronto, même si les ventes sont en net recul sur une base mensuelle par rapport aux records enregistrés au premier trimestre de 2022, elles ont augmenté de 54 % entre janvier et février, et de 44 % entre février et mars, les nouvelles inscriptions étant en hausse de 9 % entre janvier et février, et de 34 % entre février et mars.[5]

Dans la ville de Toronto, le prix de l’agrégat d’une résidence a diminué de 12,6 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 1 144 300 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente une baisse de 5,3 % par rapport au trimestre précédent. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 9,3 % pour atteindre 1 654 200 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 10,3 % pour s’établir à 705 400 $.

« Plusieurs acheteurs potentiels d’une première maison continuent de se heurter à des problèmes d’abordabilité, éprouvant des difficultés à obtenir un prêt hypothécaire important. Cette situation maintient les prix sur le marché de la location, puisque plusieurs jeunes acheteurs ne peuvent accéder à la propriété, note Mme Yolevski. En outre, ils sont en concurrence avec les nouveaux arrivants au Canada, dont la majorité s’installe à Toronto. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région du Grand Toronto augmentera de 7,5 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Région du Grand Vancouver

Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région du Grand Vancouver a diminué de 10,6 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 1 224 200 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse de 1,3 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 11,2 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 1 661 400 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 9,9 % pour s’établir à 746 300 $.

« Ces jours-ci, les acheteurs ne manquent pas dans la région du Grand Vancouver. Après avoir attendu que les prix des maisons atteignent un plancher, les acheteurs sont revenus sur le marché prêts à rivaliser contre d’autres, un état d’esprit qui, dans certains cas, alimente une fois de plus les scénarios d’offres multiples et les offres sans condition », mentionne Randy Ryalls, directeur général, Royal LePage Sterling Realty. « Notre marché continue de faire face à un nombre extrêmement limité de propriétés sur le marché, ce qui maintient la concurrence entre les acheteurs. Comme les acheteurs cherchant des propriétés plus grandes que la leur ont peu de choix, ils continuent d’attendre avant de mettre leur maison en vente. Cette hésitation entrave un roulement des propriétés disponibles. »

Selon M. Ryalls, les consommateurs restent positifs, malgré une pénurie de l’offre.

Dans la ville de Vancouver, le prix de l’agrégat d’une résidence a diminué de 7,7 % par rapport à la même période de l’an dernier pour s’établir à 1 363 700 $ au premier trimestre de 2023, une hausse de 1,3 % comparativement au trimestre précédent. Au cours de la même période, le prix médian d’une maison unifamiliale détaché a diminué de 9,5 % pour atteindre 2 412 200 $, tandis que le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 4,9 % pour s’établir à 794 600 $.

« La correction des prix que nous avons connue au cours de la dernière année est désormais derrière nous. Je m’attends à une légère hausse des prix en 2023, la demande continuant à dépasser l’offre, ajoute M. Ryalls. Même si nous espérons une augmentation du nombre de propriétés sur le marché au cours des mois de printemps, il est peu probable qu’elle suffise à satisfaire la demande en hausse constante que nous connaissons. »

Si les ventes sont en net recul dans le Grand Vancouver par rapport aux records enregistrés au premier trimestre 2022, d’un mois sur l’autre, elles ont augmenté de 77 % entre janvier et février, et de 40 % entre février et mars, et les nouvelles inscriptions ont progressé de 5 % entre janvier et février, et de 25 % entre février et mars.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans le Grand Vancouver augmentera de 2,5 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Ottawa

Le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région d’Ottawa a diminué de 10,3 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 725 700 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse modeste de 0,8 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 12,2 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 831 600 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 11,2 % pour s’établir à 384 000 $.

« Au cours du premier trimestre, le marché immobilier d’Ottawa a été plus calme que d’habitude, mais il se rapproche des niveaux d’avant la pandémie, les acheteurs revenant sur le marché. Or, les difficultés liées au nombre limité de propriétés disponibles pourraient constituer un problème pour les acheteurs. Le manque d’offre continuera d’exercer une pression sur les prix et nous commençons déjà à voir des offres multiples sur des propriétés inscrites à un bon prix. C’est un simple calcul de faible offre et de forte demande », mentionne John Rogan, courtier accrédité, Royal LePage Performance Realty. « Les vendeurs se contentent d’attendre, reportant l’inscription de leur propriété dans l’espoir que l’offre augmente ou laissant sur le marché des propriétés inscrites à un prix irréaliste. L’an dernier, le marché s’est comporté de manière inhabituelle. Les vendeurs qui s’attendent en 2023 aux prix de 2022 devront peut-être réévaluer leur position. »

« Cette année, si la pression exercée par les acheteurs est suffisante, le marché immobilier d’Ottawa devrait atteindre des niveaux habituels, à condition que les taux d’intérêt restent stables ou n’augmentent que légèrement par rapport à leur niveau actuel. »

Selon M. Rogan, l’importante population de fonctionnaires dans la région d’Ottawa exerce une grande influence qui pourrait avoir une incidence sur l’activité dans le marché, des négociations de grève étant en cours entre les autorités fédérales et le plus grand syndicat du secteur public du pays.

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région d’Ottawa augmentera de 2,0 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Calgary 

Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Calgary a augmenté de 0,7 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 616 500 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse de 2,9 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a augmenté de 0,9 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 705 000 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 4,5 % pour s’établir à 243 300 $.

« Au début de l’année 2023, le marché immobilier de Calgary montrait un retour aux tendances saisonnières d’avant la pandémie. À la fin du premier trimestre, l’activité d’achat et de vente s’est considérablement accélérée à l’approche du marché printanier. Bien que les ventes en janvier et février aient été inférieures de moitié à celles enregistrées en 2022, le prix des maisons a continué à augmenter en raison de la demande soutenue des acheteurs », souligne Corinne Lyall, dirigeante-propriétaire, Royal LePage Benchmark. « La pénurie de propriétés sur le marché a contribué à la hausse constante des prix. La concurrence est persistante dans le segment des propriétés dont la valeur atteint jusqu’à 800 000 $. La faiblesse de l’offre continue d’exercer une pression à la hausse sur les prix. »

Selon Mme Lyall, certains vendeurs hésitent à acheter une maison plus grande par peur d’avoir à abandonner leur taux d’intérêt hypothécaire actuel, une décision qui contribue à la rareté de l’offre. Même si l’on s’attend à ce que le nombre de propriétés sur le marché augmente au cours des prochains mois, cela ne suffira pas à satisfaire la demande croissante.

« Je m’attends à ce que l’offre s’améliore quelque peu au printemps, mais pas suffisamment pour satisfaire la demande des acheteurs, souligne Mme Lyall. Le rythme des nouvelles constructions a ralenti dans la région et l’offre de maisons ne se renouvelle pas assez rapidement. Cela contribuera à exercer une pression à la hausse sur les prix des propriétés cette année. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Calgary augmentera de 2,5 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Edmonton 

Selon l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage publiée aujourd’hui, le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région d’Edmonton a diminué de 5,0 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 429 500 $ au premier trimestre de 2023. Sur une base trimestrielle, le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région est donc resté stable, ayant augmenté de 0,6 %.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 5,8 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 466 000 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 3,3 % pour s’établir à 195 300 $.

« Après une période où l’offre et la demande étaient relativement équilibrées à l’automne, Edmonton est redevenue un marché de vendeurs en raison du nombre encore plus limité de propriétés disponibles. De plus en plus d’acheteurs se tournent vers le segment d’entrée de gamme du marché, ou se tiennent carrément à l’écart du marché, les propriétés plus grandes et de luxe étant devenues moins abordables », mentionne Tom Shearer, dirigeant-propriétaire, Royal LePage Noralta Real Estate. « L’activité est quelque peu stagnante, puisque certains vendeurs attendent une offre plus élevée, tandis que d’autres ne mettent pas leur maison sur le marché avant d’en avoir trouvé un autre à acheter. Ce cycle autoentretenu se traduit par une faible activité, mais je m’attends à ce que la situation s’améliore au printemps. »

Selon M. Shearer, même si le nombre de propriétés disponibles à Edmonton est plus élevé qu’il y a un an, il demeure inférieur aux niveaux d’avant la pandémie. Au cours des prochains mois, l’offre limitée devrait entraîner une légère hausse du prix des maisons.

« À l’approche des beaux jours, je m’attends à ce que de plus en plus d’acheteurs et de vendeurs sortent de leur hibernation, souligne M. Shearer. Alors que le cycle immobilier revient à des tendances plus saisonnières, nous nous attendons à un marché printanier typique en 2023, qui atteindra un sommet en mai ou en juin, avant de se stabiliser à l’automne. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région d’Edmonton augmentera de 1,5 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Halifax

Le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Halifax a diminué de 6,8 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 474 700 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse modeste de 1,2 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 6,5 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 532 300 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 2,3 % pour s’établir à 401 600 $.

« Même si les ventes restent faibles à Halifax, la demande a rebondi et le marché retrouve de la vigueur pour ce qui est des prix. Après avoir atteint un plancher au quatrième trimestre de 2022, les prix augmentent à mesure que les conditions évoluent vers un marché de vendeurs », souligne Matt Honsberger, dirigeant-propriétaire, Royal LePage Atlantic. « Dans le segment des propriétés à moins de 500 000 $ en particulier, la demande est si forte que nous avons vu jusqu’à 20 offres pour certaines propriétés. Le nombre de propriétés disponibles est plus élevé qu’à la même date l’an dernier, mais il demeure anormalement bas pour le marché de printemps, ce qui maintiendra également les ventes à un niveau peu élevé. »

M. Honsberger ajoute que plusieurs vendeurs hésitent encore à mettre leur maison sur le marché, puisque leurs options de résidences plus haut de gamme sont limitées. Comme c’est généralement le cas sur le marché printanier de la région, il s’attend tout de même à une augmentation des inscriptions au cours des prochaines semaines.

« Les mois d’avril, de mai et de juin sont généralement les plus actifs de l’année et tout indique que l’activité reviendra à la normale ce printemps. Si davantage de propriétés sont inscrites sur le marché, elles seront rapidement vendues, la demande étant indéniablement au rendez-vous. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Halifax augmentera de 1,0 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Winnipeg 

Le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Winnipeg a diminué de 4,6 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 369 900 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse de 2,5 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 4,4 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 406 800 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une baisse de 0,2 % pour s’établir à 243 500 $.

« L’activité montre une reprise prometteuse sur le marché immobilier de Winnipeg, bien qu’à un rythme plus modéré qu’à la même période l’an dernier. Alors que les prix des logements ont constamment baissé au cours du second semestre de 2022, les premiers mois de 2023 ont enregistré une hausse progressive des prix », indique Michael Froese, courtier et directeur d’agence, Royal LePage Prime Real Estate. « Avec le ralentissement de l’inflation et la stabilisation des taux d’intérêt, la confiance des consommateurs revient sur le marché. Toutefois, l’offre ne répond pas encore à la demande croissante. Le nombre de propriétés sur le marché est supérieur à celui de la même période l’an dernier, mais il reste inférieur aux niveaux d’avant la pandémie. »

Selon M. Froese, l’important marché d’entrée de gamme, qui comprend les maisons de moins de 400 000 $, est particulièrement compétitif à l’approche du printemps.

« La concurrence s’intensifie à nouveau, et les nouvelles inscriptions ainsi que les propriétés bien évaluées font l’objet d’offres multiples », a déclaré M. Froese, ajoutant que 30 % des transactions en mars ont été vendues à un prix supérieur à celui affiché, une tendance qui, selon lui, devrait se poursuivre tout au long du marché printanier. « Le nombre de propriétés disponibles à la vente étant faible et la demande en hausse, le printemps s’annonce très dynamique pour les acheteurs et les vendeurs. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Winnipeg augmentera de 2,5 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier. La prévision précédente a été revue à la hausse pour refléter les conditions actuelles du marché.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

Regina

Le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Regina est demeuré stable, n’augmentant que de 0,4 % par rapport à la même période l’an dernier pour s’établir à 362 800 $ au premier trimestre de 2023, ce qui représente, sur une base trimestrielle, une hausse modeste de 0,9 % du prix de l’agrégat d’une résidence dans la région.

Un examen du marché par type de propriété indique que le prix médian d’une maison unifamiliale détachée a diminué de 0,4 % par rapport à la même période l’an dernier pour atteindre 390 800 $ au premier trimestre de 2023, tandis qu’au cours de la même période, le prix médian d’une copropriété a connu une hausse de 9,3 % pour s’établir à 222 800 $.

« Même si le premier trimestre de 2023 a donné l’impression d’être au ralenti par rapport aux deux dernières années, le marché immobilier de Regina s’est en fait rapproché des niveaux stables d’avant la pandémie auxquels nous sommes habitués. Le nombre de propriétés sur le marché reste très limité et des facteurs économiques comme les taux d’intérêt et l’inflation maintiennent certains vendeurs à l’écart du marché, mais je m’attends à une reprise de l’activité au printemps », indique Mike Duggleby, dirigeant-propriétaire, Royal LePage Regina Realty. « Nous observons une reprise des ventes d’appartements et de copropriétés, plus de mouvements de la part de propriétaires vendant leurs propriétés et des offres multiples pour des propriétés inscrites au bon prix. Ces facteurs suggèrent que les prix augmenteront légèrement d’ici la fin de l’année. »

Selon M. Duggleby, le nombre limité de propriétés disponibles reste un défi. Ne sachant pas s’ils pourront trouver ce qu’ils recherchent, plusieurs vendeurs qui pourraient mettre leur première maison sur le marché hésitent à les faire.

« Étant donné que presque tous les vendeurs sont également des acheteurs, le cycle autoentretenu de la faiblesse de l’offre continue de paralyser l’activité sur le marché. En outre, les constructeurs ont eu du mal à redémarrer leurs activités, ajoute-t-il. La construction devrait reprendre cet été et, grâce aux mesures incitatives gouvernementales, il devrait en être de même pour les projets de logements construits expressément pour la location, ce qui est une bonne nouvelle pour ceux qui, dans l’immédiat, n’ont pas les moyens d’acheter. »

Royal LePage prévoit que le prix de l’agrégat d’une résidence dans la région de Regina augmentera de 0,5 % au quatrième trimestre de 2023, par rapport à la même période l’an dernier.

Tableau des prix – 1er trimestre 2023: rlp.ca/T1-2023-prix-des-maisons
Tableau des prévisions 2023:
rlp.ca/T1-2023-previsions

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À propos de l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage

L’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage présente des renseignements sur les trois types d’habitation les plus courants, à l’échelle nationale et dans les 62 plus grands marchés immobiliers au pays. Les valeurs des maisons présentées dans l’Étude sur le prix des maisons de Royal LePage sont fondées sur la Synthèse du marché immobilier canadien de Royal LePage, un document produit chaque trimestre à l’aide des données de l’entreprise, en plus des données analytiques de sa société sœur, RPS Solutions pour propriétés résidentielles, la source de confiance pour les renseignements et les analyses sur le secteur immobilier résidentiel au Canada. Les commentaires sur l’immobilier et les prévisions quant aux valeurs sont fournis par des spécialistes en immobilier résidentiel de Royal LePage à partir de leurs opinions et de leur connaissance du marché.

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Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau de près de 20 000 professionnels de l’immobilier répartis dans 650 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui, depuis 25 ans, vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services inc., une entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX : BRE ». Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.royallepage.ca.

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North Strategic pour le compte de Royal LePage
maria.bellovega@northstrategic.com
514-713-6577


[1] Le prix de l’agrégat est calculé à partir de la moyenne pondérée de la valeur médiane de tous les types de propriétés étudiés. Les données sont fournies par RPS Solutions pour propriétés résidentielles et comprennent les transactions sur le marché de la revente et des nouvelles constructions.

[2] Banque du Canada, 8 mars 2023, https://www.banqueducanada.ca/2023/03/

[3] Les acheteurs reviennent à la charge ce printemps : les Canadiens écartés du marché prévoient d’y revenir, 16 mars 2023, https://blogue.royallepage.ca/les-acheteurs-reviennent-a-la-charge-ce-printemps-les-canadiens-ecartes-du-marche-prevoient-dy-revenir/

[4] Données compilées par Royal LePage par l’entremise du système Centris.

[5] Toronto Regional Real Estate Board, https://trreb.ca/index.php/news